Les dépenses publiques pour le logement
Jamais aussi faibles depuis 1984.
Conséquence de la pénurie actuelle de logements, les prix de l’immobilier national ont augmenté de plus de 25 %
Les aides […] sont en effet passées de 1,82% du PIB en 2017 à 1,63% en 2020″, indique la Fondation Abbé Pierre dans son rapport annuel. Logements, production HLM réduite, promesses non tenues liées à l’absence de régulation de facto du marché immobilier… mais à force de nouvelles subventions et réglementations, les progrès de la rénovation domiciliaire sont à souligner…
Peu de logements disponibles
Conséquence de la pénurie actuelle de logements, les prix de l’immobilier national ont augmenté de plus de 25 % entre début 2017 et fin 2021 (arrêté en mars 2020), mais ce n’est pas tout. La production française de logements est trop faible.
Angle mort de la relance économique
L’avis rendu par le sénateur Dominique Estroji Sassone (LR) au nom de la Commission économique le 19 novembre 2020 considérait déjà le secteur de la construction neuve comme un « angle mort de la relance économique ».
Certes, la reprise semble battre son plein. Mais « il ne suffit pas de compléter les coussins d’air de ces dernières années, et encore moins de répondre aux besoins accumulés dans le temps et dans le futur », explique la Fondation Abbé Pierre. Le mois suivant, j’ai eu peur entre 2022 et 2023. »
La production de logements sociaux a diminué
La construction de logements sociaux, également touchée, ne peut compenser les conséquences de la pénurie. Plus de 64 000 logements publics ont été construits en 2016, tandis qu’un peu plus de 57 000 ont été construits en 2019. Et cela est lié à Covid 19, qui a achevé environ 51 000 logements sociaux d’ici l’automne 2020.
Si la commune ne respecte pas le taux de rattrapage imparti, la préfecture prendra un arrêté de pénurie (appelé par la suite « carence »), allant de la simple amende à la confiscation des droits, et pourra dans certains cas décider de la sanctionner . Du premier refus. Selon une liste diffusée par le ministère de la Transition écologique,, 278 communes de l’aire métropolitaine française étaient dans le rouge à l’issue du dernier bilan triennal (2017-2019).
Problème : Selon la Fondation Abbé Pierre, les sanctions prononcées varient beaucoup
Dépenses publiques faibles depuis 1984.
« Les dépenses publiques pour le logement n’ont pas été aussi faibles depuis 1984. Les aides […] sont en effet passées de 1,82% du PIB en 2017 à 1,63% en 2020 », indique la Fondation Abbé Pierre dans son rapport annuel. Logements, production HLM réduite, promesses non tenues liées à l’absence de régulation de facto du marché immobilier… mais à force de nouvelles subventions et réglementations, les progrès de la rénovation domiciliaire sont à souligner…
Peu de logements disponibles
Conséquence de la pénurie actuelle de logements, les prix de l’immobilier national ont augmenté de plus de 25 % entre début 2017 et fin 2021 (arrêté en mars 2020), mais ce n’est pas tout. La production française de logements est trop faible.
L’avis rendu par le sénateur Dominique Estroji Sassone (LR) au nom de la Commission économique le 19 novembre 2020 considérait déjà le secteur de la construction neuve comme un « angle mort de la relance économique ».
Certes, la reprise semble battre son plein. Mais « il ne suffit pas de compléter les coussins d’air de ces dernières années, et encore moins de répondre aux besoins accumulés dans le temps et dans le futur », explique la Fondation Abbé Pierre. Le mois suivant, j’ai eu peur entre 2022 et 2023. »
La production de logements sociaux a diminué
La construction de logements sociaux, également touchée, ne peut compenser les conséquences de la pénurie. Plus de 64 000 logements publics ont été construits en 2016, tandis qu’un peu plus de 57 000 ont été construits en 2019. Et cela est lié à Covid 19, qui a achevé environ 51 000 logements sociaux d’ici l’automne 2020.
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